La Fed a été claire dans son communiqué du 22 mars et lors de la conférence de presse de son président : « Les évènements récents au sujet du système bancaire vont probablement durcir les conditions d’octroi de crédit aux ménages et aux entreprises et peser sur l’activité économique, l’emploi et l’inflation. Il est encore trop tôt pour en mesurer les effets et dire comment la politique monétaire doit y répondre. Par conséquent, nous n’affirmons plus qu’une série de hausses des taux soit nécessaire pour réprimer l’inflation ». 

Évidemment, ce genre de phrases nourrit aussi bien les arguments des optimistes que des pessimistes.

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